"Pour eux, la constitution d'un GIE «associatif» est une étape supplémentaire dans l'édification d'un Web indépendant des pressions économiques. «
On n'a rien contre le business, mais on défend une autre idée: celle d'une appropriation du réseau par le public, explique Laurent Chemla.
La liberté d'expression appartient à tous. Elle n'a rien à voir avec une logique marchande.»"